L’ÉTÉ OÙ MON PÈRE EST MORT

Apám halálának nyara, Noran, Budapest 2006.

Léto, kdy otec zemrel, Czech translation by Anna Valentová, Dybbuk, Praha, 2010.

The Summer My Father Died, English translation by George Szirtes, Telegram, London, 2012.

L’été où mon père est mort. French translation by Clara Royer, Editions de l’Antilope, Paris, 2023.

 

CRITIQUES ET REACTIONS

« Rarement un récit consacré à ce que furent la vie et la pensée dans une ancienne démocratie populaire n’avait atteint une telle réussite formelle. …YK construit un caléidoscope attachant, déchirant, lucide et ironique…Ce livre si fin et si dur …magnifique de sensibilité écorché mais apaisée »

Antoine Perraud, La Croix, 31/05/2023.

« Ce remarquable récit d’un aveuglement politique et identitaire se double de l’histoire intime d’une jeunesse derrière un rideau de fer en voie d’effritement. Yudit Kiss défend avec poigne sa foi dans un monde libre, débarrassé de ses idéologies mortifères. »

Ariane Singer, Le Monde, 13/07/2023.

« un récit émouvant et vrai … extrêmement attachant… un des apports majeurs de la production littéraire de cette année »

Albert Bensoussan, « L’Été où mon père est mort ou les enfants de Budapest… »

Unidivers Mag, 3 juillet 2023.

« Cela faisait longtemps que je n’avais lu un livre aussi profond, d’une humanité peu commune. »

Henri Raczymow, 1096.15/06/2023.

« Nous savons si peu de ce que signifiait grandir sous ce système Communiste du 20ème siècle, qui avait promis un monde tellement meilleur que le précédent. Dans ce mémoire remarquable, l’économiste Suisse-Hongroise Yudit Kiss découvre une histoire familiale qui a façonnée la sienne bien qu’elle n’en prenne conscience. Un voyage fascinant. »

Lisa Appignanesi, auteur de ‘Losing the Dead’ et ‘All About Love: Anatomy of an Unruly Emotion’

« Un mémoire émouvant et perspicace, rendu par une excellente traduction de George Szirtes ... »

Elaine Feinstein, Times Literary Supplement, 15. 02. 2013.

« Le livre voyage entre les crêtes et les creux du passé et du présent, capturant des bribes de souvenirs de décennies différentes, placées au sein du récit chronologique du déclin graduel et de la mort du père. »

Vanessa Curtis, The Jewish Quarterly, November 23, 2012.

« Un des trois livres les plus remarquables de l’année. (2010) »

Ivan Klíma, auteur de ‘Love and Garbage’ et ‘My mad century’

« C’est un livre rempli de réflexions, rempli de citations, qui plonge soudain dans les profondeurs de l’âme, puis réémerge avec souplesse et plein d’ironie ; il a un sens ludique du temps pareil aux maitres du réalisme magique. »

Ema Stašová, Novinky, 26 november 2010.

« Ce livre doit être lu ! »

Georg Klein, author of Piéta and The Atheist and the Holy City

« … en racontant cette histoire, centrée autour de la figure du père, le professeur, un communiste convaincu jusqu’à son dernier souffle et sa fille, dont la graduelle prise de conscience est aussi présentée ; en retraçant une ‘version communiste’ du destin juif, Yudit Kiss raconte au fond une histoire jamais racontée, qui, même si elle n’a jamais été explorée, continue à hanter notre vie. »

András Kardos, Élet és irodalom, No. 47. novembre 23, 2007.

« Ce livre m’a profondément bouleversé … Non seulement par la richesse émouvante du rapport entre père et fille qu’il évoque, mais aussi par la présentation du développement interne du narrateur qui m’a beaucoup impressionné. »

István Szabó, directeur de ‘Mephisto’ et ‘The taste of sunshine’

 

En 2013 L’été où mon père est mort a été sélectionné parmi les lectures recommandées pour la liste de Independent Foreign Fiction Prize [Prix de la fiction étrangère] par le British Booktrust.

En 2014 L’été où mon père est mort a été un des finalistes pour le prix littéraire JQ-Wingate Prize.

 

BREFS EXTRAITS DU TEXTE

Vous pouvez lire quelques pages ici : https://www.calameo.com/read/004606644818831fa2c6c

Et ici : https://k-larevue.com/lete-ou-mon-pere-est-mort/

 

VOIR TOUT - CRITIQUES ET REACTIONS PAR EDITION

TRADUCTION FRANÇAISE

« Rarement un récit consacré à ce que furent la vie et la pensée dans une ancienne démocratie populaire n’avait atteint une telle réussite formelle. …YK construit un caléidoscope attachant, déchirant, lucide et ironique…Ce livre si fin et si dur …magnifique de sensibilité écorché mais apaisée »

Antoine Perraud, La Croix, 31/05/2023. https://www.la-croix.com/Culture/Lete-pere-mort-Yudit-Kiss-chronique-dun-parent-communiste-emmure-2023-05-31-1201269476

 

« Ce remarquable récit d’un aveuglement politique et identitaire se double de l’histoire intime d’une jeunesse derrière un rideau de fer en voie d’effritement. Yudit Kiss défend avec poigne sa foi dans un monde libre, débarrassé de ses idéologies mortifères. »

Ariane Singer, Le Monde, 13/07/2023. https://www.lemonde.fr/critique-litteraire/article/2023/07/13/les-breves-critiques-du-monde-des-livres-sergio-aquindo-giosue-calaciura-alexandra-matine-jean-francois-

 

« un récit émouvant et vrai … extrêmement attachant… un des apports majeurs de la production littéraire de cette année »

Albert Bensoussan, Unidivers Mag, 3 juillet 2023. https://www.unidivers.fr/yudit-kiss-lete-ou-mon-pere-est-mort/

 

« …roman, qui se déploie en cercles concentriques pour s’élargir à l’histoire de la famille … Un portrait intime et puissant… »

Frédérique Roussel, Libération, 24 juin 2023.  https://www.liberation.fr/culture/livres/viennent-de-publier-yudit-kiss-hannah-lillith-assadi-sue-hubbard-20230624_MPJGQJZ7HBEXZKDD6XDN27WU3U/

 

« Cela faisait longtemps que je n’avais lu un livre aussi profond, d’une humanité peu commune. »

Henri Raczymow, Je lis, tu lis, ils écrivent ; 1096.15/06/2023. https://cclj.be/lete-ou-mon-pere-est-mort-yudit-kiss/#

 

« L’histoire d’une famille, entre exils, anéantissements et persécutions, se détache sur celle d’une région entière de l’Europe…Pourtant, on rit aussi, dans ce livre où l’intelligence aiguë et l’attention passionnée au réel vont de pair avec une inaltérable vitalité. L’écrivaine hongroise trouve le parfait dosage entre humour, émotion, sentiment du tragique. »

 

Pierre Ahnne, L’Inventoire. 19 juin 2023. https://www.inventoire.com/lete-ou-mon-pere-est-mort-yudit-kiss/

 

 

« Ce très beau livre appartient à plusieurs genres. Il s’agit en premier lieu d’un récit autobiographique … le récit se métamorphose en un livre d’histoire. Celle de la vie ordinaire et sinistre dans une démocratie populaire, un “pays frère” de l’Union Soviétique, au temps de Staline. »

Myriam Anissimov, Tribune Juive, 19 juin 2023.  https://www.nonfiction.fr/article-11735-la-shoah-a-lombre-dune-republique-satellite-de-lurss.htm

 

 

« À l’histoire du père, inextricablement liée aux soubresauts de cette région du monde, s’agrège celle de l’auteure …la pulsion de vie qui porte ce livre et la conscience in fine de devoir au silence parental son enfance insouciante et sa capacité à savourer chaque instant de bonheur. »

 

Carol Binder, Actualité Juive, 37 N° 1691. 1er juin 2023.

 

 

« Coincé entre les craintes nées des persécutions antisémites, et les espoirs suscités par l’avènement de l’homme nouveau, il apparait dans le portrait qu’en fait sa fille comme à la fois incapable d’être juif et incapable de ne pas l’être. » 

K. La Revue, 19 avril 2023. https://k-larevue.com/lete-ou-mon-pere-est-mort/

 

 

« L’été où mon père est mort …fait partie des textes dernièrement lus que j’ai du mal à laisser partir. … Un futur classique, j’espère ! »

 

Monica, Addict-Culture, 20 juin 2023. https://addict-culture.com/valise-d-ete-monica-toute-a-lest-ou-presque/

 

 

« Un livre remarquablement écrit...éblouissant… »

Nathalie Zajde, Radio RCJ, 06/06/23. https://radiorcj.info/diffusions/lete-ou-mon-pere-est-mort-faire-le-deuil-dun-parent/

 

« Heureusement que Yudit Kiss sait rire dans le noir, heureusement qu’elle sait aimer envers et contre tout, heureusement qu’elle écrit avec grâce car sans ces forces de l’esprit et du cœur, les pages qu’elle nous livre sur la Hongrie et son père seraient irrespirables : c’est l’histoire d’une utopie heureuse, l’avenir radieux de l’universalisme communiste, devenue l’utopie monstrueuse de la domination soviétique avec en toile de fond la destruction d’une famille juive de Budapest. Une parmi d’autres, la sienne. »

Joëlle Kuntz, Le Temps, 02 octobre 2023. https://www.letemps.ch/culture/livres/dans-l-ete-ou-mon-pere-est-mort-yudit-kiss-depeint-l-aveuglement-et-l-amour-d-un-homme-fidele-a-l-ideologie-communiste

 

TRADUCTION ANGLAISE

« Nous savons si peu de ce que signifiait grandir sous ce système Communiste du 20ème siècle, qui avait promis un monde tellement meilleur que le précédent. Dans ce mémoire remarquable, l’économiste Suisse-Hongroise Yudit Kiss découvre une histoire familiale qui a façonnée la sienne bien qu’elle n’en prenne conscience. Un voyage fascinant. »

Lisa Appignanesi, auteur de ‘Losing the Dead’ et ‘All About Love: Anatomy of an Unruly Emotion’

 

« Un mémoire émouvant et perspicace, rendu par une excellente traduction de George Szirtes ... »

Elaine Feinstein, Times Literary Supplement, 15. 02. 2013.

 

« ‘L’été où mon père est mort’ est un livre si riche qu’aucune critique littéraire n’arrive pas à le saisir. Il faut le lire. »

Eva S. Balogh, Hungarian Spectrum, October 14, 2012.

 

« ... Un livre très bien écrit qui donne une image détaillée de la vie quotidienne sous le régime communiste (…). Toujours intéressant et souvent émouvant, parce qu’elle est, avant tout, une histoire profondément humaine. »

Tom Cunliffe, A Common Reader,

 

« ...…Il raconte aussi le sacrifice d’une famille et la survie d’individus dans les conditions d’enfer (…), le rejet du passé et sa découverte ; il évoque les contradictions et les demi-mensonges qu’on utilise pour s’en sortir. Mais par-dessus tout, il raconte l’amour, l’amour dans une famille, ce qui fait de ce livre un très beau conte, plein de chaleur humaine et d’une introspection poétique, écrit par quelqu’une qui honore la parole écrite. »

The Parrish Lantern, October 12, 2012.

 

« … [ce livre] raconte l’histoire d’une famille hongroise, mais, au fond, il parle de nous tous. »

Gillian Polack, Oct. 2023, BiblioBuffet,

 

« Le livre voyage entre les crêtes et les creux du passé et du présent, capturant des bribes de souvenirs de décennies différentes, placées au sein du récit chronologique du déclin graduel et de la mort du père. »

Vanessa Curtis, The Jewish Quarterly, November 23, 2012.

 

« ...Un mémoire magnifiquement écrit (…), le récit très personnel d’une période historique fascinante (…). Il raconte comment l’on accepte la perte d’un parent, les différences entre visions du monde, et comment l’on commence à comprendre ses propres racines. »

Kate Wilson, katejwilson, 10 December 2012.

 

« Dans ses plus beaux moments, le livre met en lumière les distorsions de la mémoire juive sous le régime soviétique et raconte des fragments de l’histoire des Juifs d’Europe de l’Est inconnus jusqu’à aujourd’hui. »

Ilse Josepha Lazaroms, The Jewish Quarterly, Vol. 60, Issue 1, 2013.

 

« ... Une chronique haute en couleurs … Il est particulièrement intéressant de suivre comment, pendant un voyage à Cracovie, l’auteur découvre ses origines juives jusque-là refoulées, comment elle juge ‘le nettoyage ethnique’ perpétré par des forces serbes aux cours de la guerre en Bosnie ; la conversation sur Sénèque avec un jeune Rom dans le métro de Budapest ou celui avec un anarchiste espagnol qui recommande à l’auteur la lecture d’Arthur Koestler sont également captivants. La critique anglaise qui a qualifié le livre de ‘ mémoire remarquable’, a tout à fait raison, grâce, entre autres, à sa fluide traduction anglaise par George Szirtes, poète lauréate anglais d’origine hongroise. »

George Gömöri, World Literature Today, July 2013.

 

« J’ai beaucoup appris sur l’histoire de l’après-guerre en Hongrie. Bien que la quête de Yudit sur la vérité sur son père soit spécifique, elle est liée à l’expérience de beaucoup des familles qui ont vécu les traumatismes de la Deuxième Guerre Mondiale et de période de l’après- guerre. Le livre est un plaisir à lire, écrit et traduit poétiquement. »

Sue Glynn, NewBooksMag

 

« C’est un mémoire puissant. Il ressemble Remind Me Who I Am de Linda Grant et c’est un livre merveilleux qui mérite plus d’attention. »

Compass Points, Compass Points, 15 February 2013.

 

« Le champ s’élargit et on se rend compte qu’il s’agit d’une image de la tragédie centrale du 20ème siècle, impossible à ignorer. Kiss .. raconte son histoire avec imagination et grâce, en nous conduisant à travers les aspects politiques, ethniques et personnelles de vies qu’elle a traversées. »

Robert Fulford, National Post, 7 Oct, 2014.

 

TRADUCTION TCHÈQUE

« Un des trois livres les plus remarquables de l’année. (2010) »

Ivan Klíma, auteur de ‘Love and Garbage’ et ‘My mad century’

 

« …un livre très intéressant, plein d'entrain qui surgit de notre monde réel avec une richesse des détails captivants. Un livre aux dimensions de l’Europe de l’Est. »

Anna Valentová, iliteratura.cz, Nov. 29. 2007.

 

« C’est un livre rempli de réflexions, rempli de citations, qui plonge soudain dans les profondeurs de l’âme, puis réémerge avec souplesse et plein d’ironie ; il a un sens ludique du temps pareil aux maitres du réalisme magique. »

Ema Stašová, Novinky, 26 november 2010.

 

« Ce livre peut être lu de de différentes manières. Il peut être lu comme l’histoire d’une famille juive qui se brise dans les tempêtes de l’Histoire. Comme l’histoire du développement intérieur d’une jeune femme qui essaie de définir ses idées sur la démocratie, la foi, l’appartenance et la famille. Comme une réflexion sur les questions fondamentales de notre existence. Comme un manuel vivant d’histoire, de psychologie et de philosophie. Enfin – et ce n'est pas le moins important –, comme une liste de lectures recommandées pour tout lecteur ouvert d'esprit. Certainement, tout cela est beaucoup plus qu’on attend d’habitude des lectures de qualité. Mais le lecteur qui désire recevoir des impulsions pour se développer et comprendre ne va pas être déçu. »

Kateřina Anna Šrubařová, iliteratura.cz, 20 december 2010.

 

« Le style narratif de Yudit Kiss, qui de prime abord semble conventionnel, peut représenter une nouvelle façon distinctive d’écriture féminine qui est capable de faire face aux conflits, sans, au même temps, devenir conflictuelle ; qui est en mesure de présenter les problèmes dans leur contexte spécifique, avec élégance, sans désigner des ennemis et sans imposer des solutions toutes faites dès le début. »

Marta Pató, iliteratura.cz

 

« ...Le livre décrit comment une idéologie profondément ancrée est capable de détruire les relations entre des êtres humains qui devraient être les plus proches l’un de l’autre. »

Ivana Myšková, Mozaika, ČRo Vltava Radio Station

 

EDITION ORIGINALE HONGROISE

« Ce livre doit être lu ! »

Georg Klein, author of Piéta and The Atheist and the Holy City

 

« Un livre très beau et très sérieux. »

Ádám Nádasdy, linguiste, poète et traducteur

 

« J’ai été absolument saisi et impressionné par ce livre … : il reflète l’atmosphère, les luttes de ces années … Sa présentation authentique des changements d’identité juive et communiste a aussi une valeur historique. »

Géza Komoróczy, historien, auteur de ‘Religions dans l'ancienne Mésopotamie’ et ‘l’Histoire des Juifs en Hongrie’

 

« Ce livre m’a profondément bouleversé … Non seulement par la richesse émouvante du rapport entre père et fille qu’il évoque, mais aussi par la présentation du développement interne du narrateur qui m’a beaucoup impressionné. »

István Szabó, cinéaste, directeur de ‘Mephisto’ et ‘The taste of sunshine’

 

« Très intéressant, très beau, je suis particulièrement ému par ce livre. »

Ádám Biró, auteur de ‘Two Jews on a train’ et ‘Les ancétres d'Ulysse’

 

« Il n’existe pas beaucoup des textes qui m’ont tellement bouleversé que votre description de la vie dans l’enfer de 1944 à Budapest. … Vos mots m’ont définitivement aidé à éclaircir le brouillard de ce monde irréel. (…) Lire ‘L’été où mon père est mort’ est un plaisir et un choc, entre autres, parce qu’il raconte mon histoire aussi ! »

George Láng, auteur de ‘Nobody knows the truffles I have seen’

 

« C’est le niveau de perception qui élève ce livre en hauteur, la quête du sens qui n’arrête pas de s’approfondir et devient graduellement de plus en plus tendre et glaciale en même temps. Et il proclame que cette tendresse et ce sens glacial font de nous des êtres humains. De plus – s’il est possible d’y ajouter quelque chose encore – cette quête donne le sens de notre vie. »

George Szirtes, georgeszirtes.co.uk, 23 november 2006.

 

« …une confrontation cruelle avec le père, avec le période historique, avec les non-dits. Ce livre parle de la maladie et de la mort, mais aussi de vies et d’idées, dans l’ombre du 20ème siècle, dans cette Europe pleine de confusions. »

Szabó Elvira, Zartkor.hu

 

« La transformation littéraire d’une histoire de vie par un narrateur calme et détaché et le niveau de son intégration dans le contexte historique et politique évoque ‘Départ et retour’, le livre de Gyorgy Konrad.»

Ágoston Zoltán, Élet és irodalom, március 2., No. 09. 2007.

 

« .. Le style dynamique et captivant, la richesse des métaphores et d’associations facilitent l’identification des lecteurs avec cette histoire bouleversante. »

Balikó Helga, Alexandra Könyvjelző, Vol. III. No. 5. Mai 2007.

 

« … en racontant cette histoire, centrée autour de la figure du père, le professeur, un communiste convaincu jusqu’à son dernier souffle et sa fille, dont la graduelle prise de conscience est aussi présentée ; en retraçant une ‘version communiste’ du destin juif, Yudit Kiss raconte au fond une histoire jamais racontée, qui, même si elle n’a jamais été explorée, continue à hanter notre vie. »

Kardos András, Élet és irodalom, novembre 23., No. 47. 2007.

 

« ...des récits surprenants, intéressants et émouvants au sein d’une histoire hongroise plus large ; les secrets du passé forcés à s’ouvrir... »

Lőkös Ildikó, Kritika, Vol. XXXVII. No.3. mars 2008.

 

« Le matériau du roman est traité avec une grande maturité, avec l’intention de montrer tout ce qu’est essentiel… »

Kardos András, In: A. Kardos: Kritikus apák. Alföld Könyvek, Alföld Alapítvány, Debrecen, 2008.

 

« Beaucoup de professionnels pourraient être jaloux en la lisant. Son écriture est précise, dense et sensorielle …elle gère très bien la tension aussi. J’aimerais en lire davantage ! »

Horváth Györgyi, Litera survey on the best books of the year, 2007.

 

« Elle montre, avec une ample perspective, comment les dictatures du 20ème siècle ont formé et déformé la vie des gens. »

Zsuzsa Szarka, Szombat, 5 juillet, 2014.